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Campo DC Valor Lengua/Idioma
dc.creatorLegorreta Díaz, María del Carmenes_MX
dc.date.accessioned2023-03-01T18:25:48Z-
dc.date.available2023-03-01T18:25:48Z-
dc.date.issued2021-
dc.identifier.urihttps://ru.ceiich.unam.mx/handle/123456789/3949-
dc.description.abstractL’intégration des conseillers de Ligne prolétaire aux régions indigènes, où le diocèse de San Cristóbal avait mis en place une structure religieuse, permit le développement des organisations politiques de base. De nouvelles brigades entreprirent d’organiser les zones tzotzil, chol et tojolabal, entraînant la création d’un intense processus de participation politique de nombreuses bases paysannes et indigènes, au sein desquelles quelques dirigeants locaux eurent la possibilité de se distinguer. La coordination de tous ces conseillers des brigades se faisait à travers un appareil appelé Organisation idéologique dirigeante (OID) qui, comme nous l’avons déjà dit, prétendait se différencier des partis traditionnels de gauche, en se réclamant de son alliance avec les « masses ». Les dirigeants déclarèrent que l’OID ne devait être qu’une organisation de conseillers professionnels chargée de l’orientation idéologique, sans pouvoir de décision, pour ne pas prendre la place des bases dans l’exercice de leur pouvoir. De l’avis de certains membres, on ne respectait pas cette exigence et les divergences d’ordre idéologique passaient avant les combats que devaient livrer les peuples. En ce sens, la principale autocritique d’une partie des membres des brigades était que l’oid reproduisait les pratiques des partis. Ils décidèrent donc que la meilleure façon de corriger cette erreur était de désintégrer l’appareil de coordination des brigades. L’exemple des partis communistes de l’Union soviétique et de la Chine après la mort de Mao Tsé Tung fournissait tous les éléments permettant de considérer que les pratiques de partis créaient les conditions nécessaires à la reproduction d’une bourgeoisie d’État, représentée par les conseillers et les cadres dirigeants du parti qui, sans être propriétaires des moyens de production, jouissaient cependant de tels privilèges que ce n’était pas autre chose que l’usurpation des excédents produits par le travail des ouvriers et des paysans. L’éclatement de l’oid eut, pourtant, certaines conséquences négatives, notamment parce qu’à partir de ce moment, les conseillers politiques refusèrent totalement de se rencontrer. Ils abandonnèrent les réunions d’analyse qui leur auraient permis d’échanger des idées pour approfondir et systématiser les problèmes dérivés de leur travail d’orientation, renonçant ainsi à la possibilité de transmettre leur expérience et leur autorité aux nouveaux membres des brigades qui s’intégraient à l’action politique. Ce ne fut pas sans conséquences au niveau de la continuité des processus de direction des organisations populaires en formation. Les conseillers politiques n’acceptaient de se coordonner entre eux qu’à l’occasion des assemblées de masses ; autrement dit, ils estimaient que l’attitude « correcte » était de confronter leurs opinions et leurs différences au sein même des assemblées populaires.en_US
dc.formatapplication/pdf-
dc.language.isofren_US
dc.publisher Centro de Investigaciones Interdisciplinarias en Ciencias y Humanidades, UNAMen_US
dc.relation.ispartofseriesAlternativas;-
dc.rightsLa titularidad de los derechos patrimoniales de esta obra pertenece a la Universidad Nacional Autónoma de México. Su uso se rige por una licencia Creative Commons BY-NC-ND 4.0 Internacional, https://creativecommons.org/licenses/by-nc-nd/4.0/legalcode.es, fecha de asignación de la licencia 2021-10-23, para un uso diferente consultar al responsable jurídico del repositorio por medio del correo electrónico repositorio@ceiich.unam.mxes_MX
dc.sourceL’ armée zapatiste et les Indiens au Chiapas.-
dc.titleLes communautés indigènes de Las Cañadas á l’Union des unions.en_US
dc.typeCapítulo de libroes_MX
dc.typeBook chapter-
dcterms.accessRightsAcceso abiertoes_MX
dcterms.bibliographicCitationLegorreta Díaz, María del Carmen (2021). Les communautés indigènes de Las Cañadas á l’Union des unions. En L’ armée zapatiste et les Indiens au Chiapas. Centro de Investigaciones Interdisciplinarias en Ciencias y Humanidades, UNAM. Recuperado de: https://ru.ceiich.unam.mx/handle/123456789/3949-
dcterms.extentpáginas 97-130es_MX
dcterms.provenanceCentro de Investigaciones Interdisciplinarias en Ciencias y Humanidades, UNAMes_MX
Aparece en las colecciones: Investigaciones



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